Prénom:Zhou yu
Sexe:Homme
Âge: 19
Race: Humain
Description Physique: Il a un physique plutôt androgyne.
Son nez se prolonge dans une courbe sans défauts apparents et s'échoi naturellement au point de jonction avec ses lèvres, ni trop pulpeuses, ni trop indissociables. La forme de son visage, comme de son menton. Son cou est d'une taille moyenne et s'accoutume avec les proportions raffinés de son visage.
Description Psychologique:Il est plutôt du genre renfermée et n’ose pas parler aves les autres de la pluie et du beaux temps, il est plutôt timide vues de l’extérieur mais si on fouille dans son âme, on voit qu’il veux faire de grandes choses et que c’est un gars née de la dernière pluie. Il a pour qualités de poser les bonnes questions au bon moment et de réfléchir avant de parler et de ne pas foncer tête baisser dans l’action mais ce n’est pas l‘homme parfait et possède des défauts dont un qui lui pose le plus de problème, il a peur de voir souffrir les autres. C’est pour ça qu’il évite comme la peste les relations avec les autres personnes.
Lorsqu'il est très troublé, il a tendance à ronger ses ongles frénétiquement, mais cela ne lui est arrivé que deux fois dans sa vie.
Zhou yu est un fataliste, il est persuadé que les choses s'arrangeront même dans les pires situations, mais que pour cela, il ne faut jamais abandonner
Zhou yu considère que le chiffre 4 porte malheur Il refusera donc tout ce qui est en rapport avec ce nombre : il ne prendra pas de part dans un gâteau s'il reste quatre parts par exemple, il est amusant de remarquer que comme pour confirmer cette superstition, à chaque fois qu'il est obligé de briser cette règle de conduite, il lui arrive un problème
Histoire:Aux abords d'une côte , les anfractuosités des plaines se noient dans une brume ocre, et regorgent d'une nature et d'espèces animales en foison. Village inconnu, en plein hiver, sous un ciel de nacre. Derrière la brume épaisse, deux silhouettes. Des sonorités stridulantes, résultant d'épées qui s'entrechoquent incessament. Un combat fait rage, et toute son impétuosité se propulse en locomotion à travers les ruelles. Une maison pavée de briques, se tient face aux hommes, qui hument l'air, virevoltants ici et là. Endolori par la température glacial, un enfant, incrédule, assis sur un tas de bois, reste sans voix, face à cette bataille. Les hommes spéculent, ils tentent vainement de galvauder la concentration, de l'un et l'autre. Au milieu de ces étincelles, l'enfant toise l'un des deux hommes. Il pleure, les larmes avalent peu à peu son visage, elles le parsème d'une humidité désagréable. A quoi pense-t-il ? Que se passe-t-il ? Qui sont ces hommes qui s'affrontent, qui s'affligent, qui croulent sous des coups si violents... Le morcellement entre cette maison et le reste du village est plus que palpable, personne n'intervient... Les cris de l'enfant leur parviennent, mais personne, non... personne ne tente d'annihiler ce combat. Il semblerait que l'un des deux êtres chemine vers la défaite. Il devient frêle... son adversaire lui, fulmine, sa véhémence ascendante ne cesse. Soudain... l'enfant se lève. Il fustige l'homme qui prédomine, puis s'emporte, s'enivre, de toute sa célérité, de toute sa candeur.
- " Papaaaa ! Laissez le ! Vous n'avez pas le droit ! "
Dans une course effrénée, en pleine effervescence, cet enfant attaque le Police. Et oui, au vu de sa tunique protocolaire, on ne peut qu'en déduire que l’homme est un policier . Malgré le fait qu'il fût face à un être pour le moins chétif, celui-ci infligea une baffe puissante et rapide, sans une once d'hésitation. Propulsé à une dizaine de mètres, l'épiderme facial recouvert de vermeil, l'enfant se relève néanmoins.
* Je n'abandonnerais pas ! Je dois sauver mon papa !! *
Alors que deux de ces dents jonchées l'herbe fraîche, il s'exalta à nouveau. Au milieu de sa course, des mots pullulent, l'assourdisse, le stoppe. Son père s'exclame, dans un dernier élan.
- " Arrête !! En tant que voleur, il fallait s'y attendre. Zhou yu .. tu sais... je suis si heureux de t'avoir eu comme fils ! Tout ces moments passés ensemble, ces entraînements, cette ardeur que tu déployais sous mes consignes ! Jamais, je n'aurais cru être aussi fier de ma progéniture !
Souviens toi toujours de ce que je t'ai enseigné, et ne regrette rien !
- Nooon ! Tu n'as pas le droit de me laisser Papaaa !
- Il semble que si... mes affaires... m’aura finalement causer ma perte... Je suis désolé fiston ! Mais ne pleurs pas, tu n'en as pas le temps ! Enfuis toi, et vite ! Les policiers ne laisseront pas mon fils en liberté, alors tant que tu le peux, fuis, fuis, et ne te retourne pas !
- Mais... mais... Pa.. Papa ! " Etreint par ces sanglots, Zhou yu rétorque tant bien que mal : " - Je... je ne peux pas te laisser ! "
Les yeux du père s'écarquillent alors...
" - Idiot ! Toi n'as que 6 ans ! Tu voudrais donc périr ici ?! Va Zhou yu ! Et sache une chose... je suis fier de toi !! Je t'observerai de là-haut, alors assure toi de me rendre heureux... "Il esquisse un sourire, les yeux larmoyants.
" Papaaaa ! Je.... je t'aime ! Adieu Papa ! "
zhou yu essaya de s’enfuir mais fut rattraper par un autre policier. Comme sa mère était morte de maladie, ils le laissèrent chez sa tente. Une fois majeur, il partit vire a Arcadia
Mar 20 Juil - 15:33
